« Le président du Medef Pierre Gattaz se félicite d'avoir obtenu une "ouverture" du gouvernement sur le coût du travail. "Il y a une ouverture qui nous a été faite, intéressante, c'est la baisse du coût du travail", a déclaré Pierre Gattaz en sortant de sa réunion avec Jean-Marc Ayrault. Cette baisse pourrait être inscrite dans le prochain projet de loi de Finances cet automne. »
Ramener l'âge de départ à la retraite à 60 ans avec 37.5 annuités c'est au moins 1.5 millions de chômeurs en moins.
Ils disent qu'il y a trop de retraités par rapport aux actifs, mais ce qu'ils taisent volontairement c'est que depuis 1960, la productivité a été multipliée par 5 ce qui signifie qu’un actif de 2010 produit 5 fois plus de richesses qu’un actif de 1960
…
60 ans avec 37.5 c'est possible tout de suite y compris pour le jeunes actifs.
Notre pays est la cinquième puissance mondiale :
La richesse créée 2012 :
PIB = 2 032 milliards d’euros.
En 1949 le PIB était de 13 milliards d'euros
En 2013 : La retraite à 60 ans avec 37.5 annuité est décidément possible !
Elle est possible aussi pour les jeunes générations, on veut nous faire croire le contraire.
Mobilisons nous !
En grève le 10 sept 2013
Satisfaire nos revendications CGT en matière de retraite est possible : retraite à 60 ans pour tous, dès 55 ans pour les travaux pénibles, 37,5 années de cotisations études comprises, pension de 75 % du dernier salaire, pension mini à 1 700 €. Il suffirait pour cela que 4 points de la richesse nationale (PIB) soient transférés du capital vers le travail.
Concrètement, cela équivaut à une augmentation immédiate de 300 euros de salaires brut.
D’après le Conseil d’orientation des retraites, les besoins en financement des retraites des 23 millions de salariés en France s’élèveront à 20 milliards d’euros d’ici 2020 :
1. Première comparaison : C’est moins que la fortune amassée par un seul homme, Bernard Arnault, le français le plus riche en 2011, d’après le magazine Challenges. Un seul homme d’un côté, 23 millions de personnes de l’autre.
2. Deuxième comparaison : encore un cadeau aux patrons de 20 milliards avec le Crédit Impôts Compétitivité Emplois (CICE) que nos services remboursent tous les jours.
3. Troisième comparaison : 31 milliards par an d'exonération de cotisations sociales patronales.
Avec uniquement ces trois exemples on voit que de l'argent il y en a !
Le refrain médiatique nous assène, sans faiblir, que les caisses sont vides, que c’est la crise, qu’il faut se serrer la ceinture car nous serions tous dans le même bateau, etc.
Attention : ce n’est pas parce qu’une chose est répétée cent fois qu’elle en devient vraie. Car, chiffres à l’appui, l’argent existe !!
Concrètement, cela équivaut à une augmentation immédiate de 300 euros de salaires brut.
D’après le Conseil d’orientation des retraites, les besoins en financement des retraites des 23 millions de salariés en France s’élèveront à 20 milliards d’euros d’ici 2020 :
1. Première comparaison : C’est moins que la fortune amassée par un seul homme, Bernard Arnault, le français le plus riche en 2011, d’après le magazine Challenges. Un seul homme d’un côté, 23 millions de personnes de l’autre.
2. Deuxième comparaison : encore un cadeau aux patrons de 20 milliards avec le Crédit Impôts Compétitivité Emplois (CICE) que nos services remboursent tous les jours.
3. Troisième comparaison : 31 milliards par an d'exonération de cotisations sociales patronales.
Avec uniquement ces trois exemples on voit que de l'argent il y en a !
Le refrain médiatique nous assène, sans faiblir, que les caisses sont vides, que c’est la crise, qu’il faut se serrer la ceinture car nous serions tous dans le même bateau, etc.
Attention : ce n’est pas parce qu’une chose est répétée cent fois qu’elle en devient vraie. Car, chiffres à l’appui, l’argent existe !!
Qu’on ne nous dise pas que cela est utopique. Le sauvetage des banques en 2008 a coûté aux contribuables l’équivalent de 37 points de PIB ! Là on parle d’un chiffre neuf fois plus faible (4 points du PIB), et pour la retraite de millions de gens. Tout est question de choix politique.
Après cinq ans de sarkozysme, les patrons disposent toujours à leur botte d’un gouvernement qui développe une politique antisociale, favorable aux riches et aux entreprises. Et pour éviter toute révolte populaire, les médias font passer l’extrême-droite comme étant la solution contestataire par excellence, alors que le FN toujours dans le camp des patrons, n’a jamais soutenu aucun conflit social, la présidente du FN qualifiait ainsi les manifestations de 2010 : « La France s’installe dans le chaos, entre grèves, manifestations et blocus. La tolérance zéro doit s’appliquer à tous les émeutiers. »
La solution n’est pas dans un vote de « protestation », «plus tard». La solution est dans la mobilisation aujourd’hui, pour stopper la politique du gouvernement au service du grand capital.
La convergence des luttes, c’est maintenant !
Après cinq ans de sarkozysme, les patrons disposent toujours à leur botte d’un gouvernement qui développe une politique antisociale, favorable aux riches et aux entreprises. Et pour éviter toute révolte populaire, les médias font passer l’extrême-droite comme étant la solution contestataire par excellence, alors que le FN toujours dans le camp des patrons, n’a jamais soutenu aucun conflit social, la présidente du FN qualifiait ainsi les manifestations de 2010 : « La France s’installe dans le chaos, entre grèves, manifestations et blocus. La tolérance zéro doit s’appliquer à tous les émeutiers. »
La solution n’est pas dans un vote de « protestation », «plus tard». La solution est dans la mobilisation aujourd’hui, pour stopper la politique du gouvernement au service du grand capital.
La convergence des luttes, c’est maintenant !
LA CGT FP APPELLE TOUS LES AGENTS DE LA DGFIP à être en grève et à la
manifestation le 10 septembre :
Manif 10h place de Verdun à Grenoble
• Pour la retraite à 60 ans avec 37,5 annuités (abrogation Balladur, Fillon, Woerth)
• Augmentation des salaires
• Création d'emploi, arrêt de la MAP, défense du statut.
• Augmentation des salaires
• Création d'emploi, arrêt de la MAP, défense du statut.
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